En ce moment, plus de 2 milliards d’euros de nourriture sont gaspillé en France chaque année. Dans le monde, c’est 750 milliards d’euro de gaspillage alimentaire et 1,3 milliard de tonnes de nourriture gaspillée. C’est sont des chiffres de l’organisation onusienne pour l’agriculture et l’alimentation, la FAO. En janvier 2020, en France le gaspillage et les pertes alimentaires étaient de 10 millions de tonnes de produits par an, soit une valeur commerciale estimée à 16 milliards d’euros, selon une étude de l’agence de la transition écologique, Ademe.
En France par exemple, chaque année, plus de 10 millions de tonnes de déchets alimentaires sont produits comme suit:
- 6,5 tonnes par les foyers
- 2,3 tonnes par la grande distribution
- 1,5 par la restauration
Ces masses de gaspillage alimentaire s’étend de la production à la consommation en passant par la transformation et la distribution. Elles constituent une source de pollution de l’environnement, des émissions du gaz à effet de serre et un prélèvement inutile des ressources naturelles comme les terres cultivables. Les principaux acteurs du gaspillage alimentaires sont les grandes distributions, les restaurants et les foyers. Pour la phase de consommation, cela représente 30 kg par personne et par an de pertes et gaspillages au foyer, dont 7 kg de déchets alimentaires non consommés encore emballés.
À cela s’ajoutent, les pertes et gaspillage générés en restauration collective ou commerciale. Dans les supérettes, supermarchés, moyennes et grandes distributions, les invendus représentent également un chiffre non négligeable.
La lutte contre le gaspillage est engagée dans de nombreux pays par des associations et organisations pour permettre de conserver les nourritures, de nourrir les pauvres et de soutenir les familles à faible économie en lieu et place du gaspillage. Des lois sont votées pour interdire le gaspillage alimentaire dans de nombreux pays, avec peu de suivi.
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Les dates limites de consommation et la surproduction sont les causes réelles du gaspillage alimentaire et les invendus. Les stocks trop importants dans les centres commerciaux et les magasins, les quantités servies inadaptées aux besoins des clients dans les restaurants, pâtisseries et cantines engendrent énormément de gaspillage alimentaire.
Pour lutter contre la prolifération des déchets et la pollution de l’environnement à travers le gaz carbonique, il est important de connaître les besoins réels des populations en matière de consommation. À chaque nourriture jetée dans la nature, c’est du CO2 émis dans l’atmosphère. Donc une cause du réchauffement climatique.
Pour éviter le gaspillage alimentaire, il faut entre autre:
- Établir les menus de la semaine.
- Faire une liste de courses.
- Faire ses courses sans avoir faim.
- Acheter en vrac.
- Lire et comprendre les dates de péremption.
- Respecter la chaîne du froid.
- Bien ranger son frigidaire
- Conserver les aliments à la bonne température
- Noter la date d’ouverture sur les produits
- Cuisiner les bonnes quantités
- Bien conserver et utiliser les restes
- Préparer des recettes de frigo, et cuisiner les fanes et épluchures
Toutes ces mesures permettent de gaspiller moins de nourriture et de protéger l’environnement contre des déchets et des immondices qui jonchent un peu partout. Ce sont des mesures que l’on doit appliquer rigoureusement et quotidiennement pour permettre de conserver la nature en bon état et la santé environnementale.
L’Angleterre est l’un des pays qui gaspille plus d’aliments dans le monde avec prés de 15 millions de tonnes de nourritures par an
Nous devons tous nous soucier de la pauvreté et de la faim dans le monde pour adapter nos besoins de consommations à la situation de l’environnement. Nous devons également nous soucier de la dégradation de notre environnement et s’inquiéter des conséquences qui en découlent. Nous devons prendre soin de notre environnement. Prendre soin de l’environnement, c’est éviter tout comportement susceptible de compromettre notre vie et notre santé. C’est s’assurer que nos actions n’ont aucun impact sur la vie des autres. C’est aussi savoir respecter les mesures sanitaires pour rester en bonne forme. C’est surtout prendre conscience du changement climatique étroitement lié à notre action sur l’environnement.
Si nous arrivons à maîtriser notre mode de consommation, nous arriverons forcément à maîtriser la santé et l’hygiène publique. Pour être en bonne santé, il faut consommer moins. Car plus on consomme, plus on augmente les triglycérides. Trop manger entraine des conséquences psychiques, psychologiques et physiques néfastes sur la santé. L’excès est interdit, il est mauvais. Acheter trop de nourriture pour en consommer moins est une perte à la fois financière et économique.
Soyons économe, dépensons moins pour en manger longtemps. Gaspiller la nourriture n’est pas bonne. Rappelez-vous, au moment où vous jeter la nourriture, il y a d’autres qui meurent de faim et de soif. Pendant que vous vous manger à satiété, il y a certains qui n’ont pas à manger. Soyons responsables dans l’usage des aliments et dans notre mode de consommation. Ne soyons pas avare, pingre et méchant. Achetons ce qu’on consomme, consommons ce qu’on achète. La vantardise et la gourmandise sont des maux qui affectent la santé et le moral. Le bien-être économique et social se mesure dans la simplicité, la cohérence et la modestie.
Croire qu’en jetant les aliments dans la poubelle, on rend service à la nation est une aberration, une malédiction. Quand vous en avez assez, alors pensez à ceux qui n’ont rien ou peu. La solidarité alimentaire est l’origine de la bonté. Partagez vos nourritures avec les nécessiteux, les orphelins, les pauvres, les voyageurs, les endettés, les hommes et les femmes se trouvant dans les difficultés. Il ne sert à rien d’accorder de la faveur à un riche marchand en lieu et place d’un mendiant. La générosité et la solidarité sont deux éléments qui renforcent les relations sociales et familiales. Elles sont accordées aux nécessiteux
Si vous avez votre frigo plein à craquer, et que vous ne savez pas quoi en faire, c’est simple. Il y a des associations et des organisations spécialisées dans la collecte et le ramassage des aliments jetés pour en donner aux pauvres. Vous pouvez bien chercher leur contact téléphoniques sur internet, puis les appeler et les inviter à venir chercher les aliments dont vous n’avez pas envie de manger. Ça vaut mieux que de les jeter dans la poubelle. C’est une forme de solidarité.
Ne jetons pas nos aliments dans la poubelle pendant que certains en ont besoin, ne mangeons pas plein le ventre pendant que d’autres n’ont rien à manger, n’achetons pas ce qu’on ne mange pas. Soyons prudents dans nos dépenses et dans nos consommations. Ne soyons pas gourmands et cupide. Ne soyons pas avide et insatiable. Mangeons bien et mangeons mieux. On mange pour vivre, mais on ne vit pas pour manger. Pour s’en convaincre, utiliser la tête, le cerveau pour manger et boire. Mais suivez jamais les recommandations de votre ventre et de votre appétit de désir pressant de la nourriture.
Êtes-vous posé la question: « quelle est la quantité de nourritures que je jette tous les jours, toutes les semaines, tous les mois et chaque année dans la poubelle » ? Si vous êtes généreux, partagez ce que vous avez. Posez-vous des question qui vous remettent au niveau du pauvre qui n’a rien à manger. Ne mangez pas trop, ne gaspillez pas pendant que les autres ont besoin de nourritures.
Dans une nation, on parle de communauté. Dans une communauté, on parle d’ethnie, de langue, de lien social et de familiarité. On ne parle ni de frontières ni de limites. Donc la nation est constituée d’éléments qui nous rapprochent et consolident nos rapports d’amitié, de fraternité, de solidarité, d’unité, de partage, d’entraide et de cohésion sociale. Ce sont des valeurs que nous avons rn partage et qui nous permettent de vivre et de produire ensemble. Il n’y a aucun État qui ne soit d’abord appelé Nation.
C’est la nation qui crée l’Etat, puis l’Etat renforce les valeurs nationales, morales, familiales, sociales, sociétales et religieuses. C’est le respect de l’ensemble de ces valeurs qui concourent à la solidarité nationale. Soyons solidaires les uns les autres et vivons ensemble pour une nation épanouie. Pour cela ne mangeons pas trop jusqu’à oublies les plus nécessiteux. Ils ont besoin de nourriture, de logement et de l’habillement. Aimons le partage. Partageons! Il faut démultiplier les agences nationales de sécurité alimentaires et augmenter le nombre d’associations qui œuvre dans le cadre de l’amélioration des conditions de vie des populations à travers la distribution alimentaire gratuite a destination des personnes souffrant d’insécurité alimentaire.
Pour rappel, nous dirons que dans le monde « plus de 155 millions de personnes souffrent d’insécurité alimentaire. A chaque minute, 11 personnes risquent de mourir de faim et de malnutrition si rien n’est fait« , selon un rapport d’Oxfam qui s’inquiète du nombre évolutif des personnes affamées pour des raisons climatiques, de conflits, de crise alimentaires et sanitaire.
